Les 1er et 2 juin, avant la fermeture estivale et le passage de la flemme olympique, le Palais de Tokyo propose de vous dorloter en explorant les fonctions sensibles et thérapeutiques de l’art. En plus des 5 expositions du moment, le Palais devient un grand corps vivant, animé par un ensemble d’ateliers de pratique plastique, de performances et de concerts au gré de votre déambulation dans le bâtiment, entre soin du corps et de l’esprit, repos et transmission de savoirs pratiques, compositions de boissons naturelles et musicales, siestes et médiation sur le vivant.
Pour tous les âges et tous les publics.
Si le Palais de Tokyo, gigantesque bloc de marbre et de béton, n’est pas connu pour ses jardins, cette visite des jardins vous conduira pourtant dans ses jardins cachés, à l’intérieur comme à l’extérieur.
Ce week-end, la Friche ouvre ses portes au public. Cet espace situé au cœur du Palais de Tokyo est un lieu collectif de travail, de réflexion, de production, de rencontres et d’accalmie pour des artistes, des collectif·ves, des chercheur·euses, des revues. Dans une logique d’écosystème, elle nourrit organiquement et « naturellement » l’institution, anime ses réflexions et ses projets. En lien avec l’exposition « Dislocations », vous pourrez rencontrer les artistes Nge Lay et Aung Ko qui ont quitté la Birmanie après le coup d’Etat de 2021. Mais aussi Agnė Jokšė et Anastasia Sosunova qui préparent la saison culturelle de la Lituanie en France à l’automne 2024, ainsi que le collectif Mouhawalat invité à poursuivre le projet « Morshed » qui vise à collecter des outils de transmissions intergénérationnelles à destination des jeunes artistes.