« Il nous est impossible de se passer de tout ce legs colonial. Je pense que nous le vivons toujours dans toutes nos structures, façons de faire, de penser. » D’origines chinoise, samoane et persane, entre autres, Léuli Eshrāghi travaille à la lisière de la recherche universitaire, du commissariat d’exposition et de la pratique artistique. Iel est conseiller·e scientifique de l’exposition collective « Réclamer la terre », nous montrant le besoin de réparation, soin et guérison des cultures autochtones discréditées par le colonialisme.
Réalisation et montage Antoine Aphesbero