À partir de conférences, vidéos ou installations, Alexis Guillier (1982 – France) interroge les zones d’ombre de l’histoire culturelle comme le faux artistique ou le tournage du film Twilight Zone. À chaque fois, il emprunte une voie narrative qui allie une dimension documentaire à une forme de doute méthodique.
Il expose ou donne des conférences au Centre Pompidou (2010), au 104 (2010), au Palais de Tokyo (2012), à la Fondation Ricard (2012), à Bétonsalon (2012), au MacVal (2013), à la Walter Phillips Gallery à Banffs au Canada (2013) à la Biennale de Belleville (2014), au Bal (2014) et à l’Onde à Vélizy (2015).