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Éditorial de la saison printemps 2025 par Guillaume Désanges
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Le Palais de Tokyo porte depuis son origine l’idée d’une médiation libre, c’est-à-dire qu’il constitue un lieu de rencontre entre des visiteur·euses et des médiateurices, dans une posture du dialogue et du partage.
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Dans cet entretien, les commissaires d’exposition Cédric Fauq et Hugo Vitrani reviennent sur l’énigme RAMMELLZEE, icône de la scène hip-hop des années 1980…
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Plongez-vous dans cet entretien avec la curatrice Amandine Nana qui nous partage les inspirations de l’exposition « Joie collective — Apprendre à flamboyer ! » où subversion, jeu, musique et exaltation ne font qu’un.
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Dans cet entretien, Raphaël Barontini nous plonge dans la nuit qu’il fait tomber sur le Palais de Tokyo, celle qui fait surgir les danses, les espoirs et les révolutions.
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Ce document jeune public est un conte qui vous fera traverser les différentes expositions du Palais de Tokyo en suivant l’incroyable histoire des extraterrestres gothiques venus sur Terre à la recherche de la joie !
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Danser, exulter, résister : un parcours des expositions en musique
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Écouter les voix intimes des montagnes, assister à la naissance d’un paysage par la lave, « peindre » avec les sons… Voici une liste non exhaustive des activités peu communes que pratique Julian Charrière et qu’il partage avec nous dans cet entretien. Son exposition au Palais de Tokyo est une invitation à reconsidérer notre rôle d’humain·es dans la nature à l’heure du dérèglement climatique. C’est aussi une expérience sensorielle qui nous embarque au centre de la Terre en nous demandant, pour seule préparation physique, de bien vouloir nous mettre en chaussettes.
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Dans cet entretien, Dorothée Munyaneza revient sur des thématiques de sa pièce “Toi, moi, Tituba…” qui font écho à celles de l’exposition “Tituba, qui pour nous protéger ?”.
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Dans cet entretien, Malala Andrialavidrazana raconte les dessous de la création de cette fresque monumentale pour le Palais de Tokyo et comment en tant qu’architecte, elle a vite troqué le béton pour des matériaux plus légers (des histoires et des images) dans sa participation à la construction du monde. Situations burlesques, critique mordante de la modernité et écriture de l’histoire au présent : dans ses collages, toute ressemblance à des faits et des personnages réels contemporains n’est pas forcément fortuite.