Basée sur le principe du rhizome et de la transformation, la pratique de Fabrice Hyber prend appui sur la relation de l’être humain à son environnement. Il pousse à repenser aux histoires des matériaux quotidiens face aux enjeux environnementaux en consacrant un musée au plastique, ce matériau polluant qui est composé par un liquide issu du raffinage du pétrole, le naphta.