« Cette infinité d’histoires est très importante pour moi, comme un moyen de résister à la fermeture, de résister à la réduction à un seul métarécit » : l’artiste Ho Tzu Nyen revient sur son travail dans le cadre de l’exposition « Shéhérazade la nuit » au Palais de Tokyo.
Réalisation et montage Antoine Aphesbero