Thomas Hirschhorn, né à Berne (Suisse) en 1957, a étudié à la Kunstgewerbeschule de Zürich avant de s’installer à Paris en 1983. Son travail est présenté dans de nombreux musées et expositions internationales, dont la Biennale de Venise (1999, 2015), Documenta 11 (2002), la Biennale de Sao Paolo (2006), et le Pavillon Suisse à la Biennale de Venise (2011). Ses expositions solo les plus récentes incluent « Fake It, Fake It, Till you Fake It » Gladstone Gallery New York (2024) et « LAST CHANCE: What can we learn from History of Art, for today’s understanding? » Galerie Chantal Crousel Paris (2024). Thomas Hirschhorn affirme, à chacune de ses expositions – dans un musée, une galerie ou un lieu alternatif – son engagement envers le public non-exclusif, comme en témoignent ses nombreux projets (plus de 78) réalisés dans l’espace public, dont « Sense of Safety » en Ukraine (2024) et « Art Shelter » à Riga (2022). Ses projets en coopération locale incluent « Robert Walser-Sculpture » à Biel (2019) et le « Gramsci Monument » à New York (2013). Il a publié des écrits, notamment Critical Laboratory: The Writings of Thomas Hirschhorn, MIT Press, 2013, Une volonté de faire, Thomas Hirschhorn, Macula, 2015 et Quand les faibles se prennent pour des forts, Macula, 2024. Parmi ses prix : le « Prix Marcel Duchamp » (2000), le « Joseph Beuys-Preis » (2004) et le « Prix Meret Oppenheim » (2018).
Thomas Hirschhorn est né en 1957. Il vit et travaille à Paris.