Un homme portant des lunettes de soleil est assis sur un trottoir, tenant une veste sur son épaule devant une grande banderole avec une écriture grecque.

Emmanuel Saulnier

Les œuvres d’Emmanuel Saulnier (né en 1952 à Paris, où il vit) ont notamment été présentées au sein des expositions collectives « Formes Simples » (Centre Pompidou-Metz ; Mori Museum, Tokyo, 2015) et « Traces du Sacré » (Centre Pompidou, 2008). Sa dernière exposition personnelle à Paris a été organisée au Passage de Retz (2012). Auparavant, son travail a notamment fait l’objet d’expositions personnelles au Musée d’Orsay (« Emmanuel Saulnier / Odilon Redon », Paris, 2007), à l’Atelier Brancusi, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou (« PLACE NOIRE PLACE BLANCHE », 2004), à La Maréchalerie, Ecole d’architecture, Versailles (« OUVERT/COUVERT », 2004), ou encore à La Verrière / Fondation d’entreprise Hermès, Bruxelles (« BOIS VOIS SOIS », 2002). Il a réalisé d’importantes commandes publiques, telles que Rester/Résister, dédiée aux victimes civiles du nazisme à Vassieux-en-Vercors ou Hommage à Jean-Jacques Rousseau pour le musée du Château d’Annecy. Il a été boursier de la Villa Médicis, Académie de France à Rome, en 1986. Deux monographies lui sont consacrées aux éditions du Regard : Principe transparent de Luc Lang et Jean-Pierre Greff (1999) et Condition d’existence d’Amaury Da Cunha et Doris Von Drathen (2012). Depuis 2002, il prend en charge un atelier de sculpture à l’Ecole supérieure des Beaux-Arts de Paris.