La critique des institutions montre que rien n’est neutre : écoles, musées, médias ou même langage fabriquent des hiérarchies et des privilèges invisibles. Dans le sillage de penseurs comme Bourdieu et Foucault, elle révèle que le pouvoir ne se loge pas seulement dans les gouvernements ou les lois, mais dans nos pratiques quotidiennes et nos discours les plus banals. Dévoiler ces mécanismes, c’est comprendre comment se reproduisent les inégalités et ouvrir des brèches pour transformer l’ordre établi.