Je suis mort sans identité. Les étiquettes des vêtements, les empreintes digitales, la taille des chaussures ont été décousues, supprimées, lavées, blanchies, et livrées à l’oubli. Seul indice, un petit morceau de papier caché dans une poche secrète du pantalon. Écrit-là, les derniers mots d’une poésie persane : Tamam Shud. Ceci c’est la fin (en persan).
S’emparant d’un étrange fait divers, et invoquant la musique, la littérature et la danse, Alex Cecchetti interroge les mystères de l’identité et de la disparition.