Dans la continuité de son essai pour le Magazine Palais #31 « La joie sans l’espoir », Laurence Bertrand Dorléac entremêle les récits et réactive la présence de ces fantômes qui ont traversé le Palais de Tokyo au cours de son histoire en évoquant certains artistes qui ont eu l’art de les ranimer. Une traversée de l’histoire ancienne qui demeure à sa façon dans les signes du présent.